- EAN13
- 9782402443425
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Centre national de la photographie)
- Date de publication
- 1993
- Collection
- Photo notes
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Réfugiés : photographies de John Vink (1987-1994)
John Vink
FeniXX réédition numérique (Centre national de la photographie)
Photo notes
Qu'il s'agisse du quotidien le plus banal, ou d'événements exceptionnels, les
grands photographes - dans leur subjectivité même - témoignent
d'irremplaçables façons. La collection « Photo poche » se veut une histoire de
la photographie. « Photo notes » est une collection d'histoires, racontées en
photographies. En termes techniques, l'image qu'on tire d'un négatif, porte le
nom d'épreuve, un nom lourd de sens. « Photo notes » sera aussi une collection
d'épreuves. Afghans, Roumains ou Kurdes, Rwandais, Sri Lankais ou Bosniaques :
il y a près de vingt millions de réfugiés dans le monde. C'est cette
population d'individus déracinés, chassés par un régime qui les exclut, par
une ethnie qui les rejette, fuyant la sécheresse, la famine ou la guerre, que
John Vink montre avec compassion. Depuis sept ans, il a parcouru ces centres
de triage, où les familles déplacées attendent qu'on leur donne, plus qu'une
tente ou un bol de riz, de vraies raisons d'exister.
grands photographes - dans leur subjectivité même - témoignent
d'irremplaçables façons. La collection « Photo poche » se veut une histoire de
la photographie. « Photo notes » est une collection d'histoires, racontées en
photographies. En termes techniques, l'image qu'on tire d'un négatif, porte le
nom d'épreuve, un nom lourd de sens. « Photo notes » sera aussi une collection
d'épreuves. Afghans, Roumains ou Kurdes, Rwandais, Sri Lankais ou Bosniaques :
il y a près de vingt millions de réfugiés dans le monde. C'est cette
population d'individus déracinés, chassés par un régime qui les exclut, par
une ethnie qui les rejette, fuyant la sécheresse, la famine ou la guerre, que
John Vink montre avec compassion. Depuis sept ans, il a parcouru ces centres
de triage, où les familles déplacées attendent qu'on leur donne, plus qu'une
tente ou un bol de riz, de vraies raisons d'exister.
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