- EAN13
- 9782213720067
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 14/04/2021
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard 20,00
Plus d’un Français sur dix est sous antidépresseurs. La plupart du temps, ce
sont des « ISRS », de la famille du Prozac, du Deroxat, du Zoloft... Des
médicaments souvent peu efficaces, et surtout – cette enquête le démontre –
qui peuvent être très dangereux : émotions anéanties, tendances suicidaires,
pulsions de violence, voire de meurtre. Sans parler d’autres effets
indésirables graves, comme l’impuissance et la perte de la libido. À toutes
ces personnes, on dit pourtant : « C’est la dépression qui vous fait ça, pas
l’antidépresseur. »
C’est faux.
Pour cette enquête, Ariane Denoyel a recueilli les témoignages des victimes de
ce naufrage sanitaire, aggravé par la crise du Covid-19. Médecins et
spécialistes du monde entier dénoncent enfin dans ce livre, preuves à l’appui,
un scandale public.
En dévoilant les coulisses de l’industrie pharmaceutique, l’organisation
douteuse de nombreux essais cliniques et les choix partiaux des revues
scientifiques, l’autrice brise le mur du silence. Et met au jour une
catastrophe de santé publique.
sont des « ISRS », de la famille du Prozac, du Deroxat, du Zoloft... Des
médicaments souvent peu efficaces, et surtout – cette enquête le démontre –
qui peuvent être très dangereux : émotions anéanties, tendances suicidaires,
pulsions de violence, voire de meurtre. Sans parler d’autres effets
indésirables graves, comme l’impuissance et la perte de la libido. À toutes
ces personnes, on dit pourtant : « C’est la dépression qui vous fait ça, pas
l’antidépresseur. »
C’est faux.
Pour cette enquête, Ariane Denoyel a recueilli les témoignages des victimes de
ce naufrage sanitaire, aggravé par la crise du Covid-19. Médecins et
spécialistes du monde entier dénoncent enfin dans ce livre, preuves à l’appui,
un scandale public.
En dévoilant les coulisses de l’industrie pharmaceutique, l’organisation
douteuse de nombreux essais cliniques et les choix partiaux des revues
scientifiques, l’autrice brise le mur du silence. Et met au jour une
catastrophe de santé publique.
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