L'Opposé de la blancheur, Réflexions sur le problème blanc
EAN13
9791041416103
ISBN
979-10-414-1610-3
Éditeur
Points
Date de publication
Collection
POINTS ESSAIS
Nombre de pages
128
Dimensions
17,7 x 10,8 x 0,8 cm
Poids
72 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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L'Opposé de la blancheur

Réflexions sur le problème blanc

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Une démonstration implacable des ravages causés par la domination d’un Occident raciste.
La domination d’un Occident raciste, à l’intérieur de ses frontières et au-delà, n’a pu que renforcer les préjugés à l’encontre des personnes définies comme Noires. Il est illusoire de se dire Blanc par simple convention, sans le moindre rapport avec l’histoire qui créa cette catégorie de blanchité.Léonora Miano se livre à une analyse aussi fine qu’implacable de ce « problème blanc », depuis les traites négrières et la colonisation jusqu’au présent. Car, sans prise de conscience de ce qu’est la blanchité, il est impossible de transformer ce qui s’est transmis de génération en génération, à la fois comme un patrimoine et un secret de famille, certes gênants mais qu’il nous faut regarder en face.Il se passera du temps pour vider la race de toute signification et guérir le monde. Cela ne signifie pas qu’il faille baisser les bras. C’est en ayant conscience de l’ampleur de la tâche que l’on pourra s’y atteler.
Née à Douala (Cameroun) en 1973, Léonora Miano est une grande voix de la littérature en langue française. Romancière, dramaturge et essayiste, elle est l’auteure d’une vingtaine d’ouvrages.
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«Un essai radical qui poursuit sa réflexion aiguë sur l’esclavage, la colonisation et le racisme. » L'Humanité« L'autrice ne fait pas de procès mais redéfinit le monde. » Ouest France« L’opposé de la blancheur dont il est question dans le nouvel essai de Léonora Miano est une noirceur qui ne dit pas son nom, une chose si laide qu’elle a inventé un système de discrimination et de domination particulier. » Le Monde« Une oeuvre riche, dense, où les lignes directrices sont l'histoire, la mémoire, le colonialisme, et ce que c'est que d'être une femme, une femme noire. » Mediapart
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